Thursday, September 19

Avez-vous besoin d’un Truffes Auchan ?

Déprimé par ses échecs dans la littérature générale et aussi sans doute par ses efforts assez infructueux pour s’établir dans le sein de la petite bourgeoisie, notre héros s’arrête d’écrire. Notre héros est dès lors suspendu entre deux classes sociales, celle à laquelle il va appartenir, à laquelle il appartient déjà à moitié par sa formation secondaire, et celle dont il provient. Il faut cependant, pour que la nouvelle théorie puisse se constituer, que l’anticipation de son efficacité possible soit présente dès la position dépressive. Alors enfin fut portée une loi qui aurait dû passer dès la première année du système indgien, loi qui considère comme félonie l’acte de se montrer en public armé et déguisé. Les guerriers qui avaient pris des chevelures en compagnie se regardaient comme la panthère regarde le daim, Quelques-uns étaient prêts à déterrer la hache pour soutenir la loi ; d’autres pour défendre l’orgueil des Onondagoes et le colibri des Delawares. La fin de l’histoire est un mythe commun dans les sociétés occidentales, souvent présenté comme l’achèvement d’un paradis. Comme ils étaient innocents, ils n’avaient pas de cauchemars, rien que des rêves agréables qui faisaient de l’Indéterminé un paradis… Parlez-moi à cœur ouvert si cela vous soulage, je ne me fais pas fort de vous consoler ; je crois que vos douleurs sont grandes et qu’il n’est au pouvoir de personne de les guérir

ACROPOLITE (George), né à Constantinople en 1220, mort en 1282, fut grand logothète sous les empereurs Théodore Lascaris et Michel Paléologue. Le successeur de M. George Bush Senior, un démocrate du nom de William Clinton, allait vérifier à la face de la terre entière que la phalange de la classe politique informée des secrets des relations entre les Etats est trop minoritaire dans les démocraties pour mobiliser une nation pour la défense de ses véritables intérêts sur la scène internationale et qu’en conséquence elle pourra se trouver à la merci des services secrets d’un pays minuscule, mais énergique et ambitieux Truffe noire de Bagnoli s’étendre. Sa réputation de virtuose s’était répandue dans toute l’Europe, à peu près comme la renommée militaire du grand Frédéric, et il ne s’arrêtait guère en un pays qu’on n’organisât pour lui un concert, où souvent il ne dédaignait pas de se faire entendre. Son père en remontant au plus loin dans ses souvenirs, ajoute-t-il, l’avait vue toujours ainsi. Et je pensais alors qu’il n’existait pas de personne plus désirable. Tu es sûr, dit Philippe, qu’il y a des arbres sur la falaise à Douvres

Aisne, s’y fit remarquer par l’exaltation de ses opinions, surtout dans le procès de Louis XVI, contribua puissamment à la mort de ce prince, à l’établissement de la république et à la concentration de tous les pouvoirs dans la Convention ; se lia étroitement avec Robespierre, eut part au mouvement du 31 mai contre les Girondins, entra au Comité de Salut Public, et fut un de ceux qui organisèrent le régime de la Terreur; alla en mission avec Lebas à l’armée du Rhin, où il ordonna une foule d’exécutions, mais où en même temps il exalta les courages; devint président de la Convention au 19 février 1794, se chargea des rapports contre ses collègues Danton, Hérault de Séchelles et Camille Desmoulins, qui furent envoyés à la mort, défendit presque seul Robespierre au 9 thermidor, fut enveloppé dans sa condamnation et périt avec lui sur l’échafaud. SAINT-LAMBERT (Ch. François, marquis de), poëte, né en 1717 à Vézelise en Lorraine, m. en 1803, servit d’abord dans les gardes lorraines, s’attacha au roi Stanislas retiré en Lorraine, connut à Nancy Mme Du Châtelet, à laquelle il inspira une vive passion, fit la campagne de Hanovre en 1756, renonça l’année suivante à l’état militaire pour se vouer aux lettres, vint à Paris, où il se lia bientôt avec les philosophes, travailla à l’Encyclopédie, fit en même temps des vers qui eurent du succès, publia en 1765 le poëme des Saisons, fut reçu à l’Académie en 1770, se retira pendant les troubles de la Révolution à Eaubonne, près de Montmorency, et y passa ses dernières années dans la société de Mme d’Houdetot, son amie

Tandis que Mistral me disait ses vers dans cette belle langue provençale, plus qu’aux trois quarts latine, que les reines ont parlée autrefois et que maintenant nos pâtres seuls comprennent, j’admirais cet homme au-dedans de moi, et, songeant à l’état de ruine où il a trouvé sa langue maternelle et ce qu’il en a fait, je me figurais un de ces vieux palais des princes des Baux comme on en voit dans les Alpilles: plus de toits, plus de balustres aux perrons, plus de vitraux aux fenêtres, le trèfle des ogives cassé, le blason des portes mangé de mousse, des poules picorant dans la cour d’honneur, des porcs vautrés sous les fines colonnettes des galeries, l’âne broutant dans la chapelle où l’herbe pousse, des pigeons venant boire aux grands bénitiers remplis d’eau de pluie, et enfin, parmi ces décombres, deux ou trois familles de paysans qui se sont bâti des huttes dans les flancs du vieux palais. Humecter cet appareil de quelques gouttes d’huile, et, en pilant toujours, ajouter un litre d’eau et une cuillerée de vinaigre ou de jus de citron