Ses principaux ouvrages sont : l’Opus majus (publié par Samuel Jebb, Londres, 1733, in-fol.), qu’il adressa au pape Clément IV, et où il s’était proposé de rassembler toute sa doctrine ; il en fit deux refontes successives sous les noms d’Opus minus et Opus tertium (ces deux ouvrages n’ont été publiés qu’en 1860, à Londres, par J. S. Brewer) ; Epistola de secretis operibus naturæ et artis et de nullitate magiæ, Paris, 1542 ; De retardandis senectutis accidentibus, Oxford, 1590, et plusieurs traités d’alchimie, dont le principal est le Speculum alchemicum. Mais je n’ai pas besoin de dire que le style et l’ordre des passages ont été scrupuleusement respectés. Allons, fais don pas ton boime ! Si l’enfant riait et s’égayait, elle venait Truffle pour la chasse jouer avec lui, l’exciter des mains et de la tête, et tout en le cajolant, elle répétait : – Ris bien, Risarel, ris-le tout ton plaisir, bel astre du ciel, doux agneau blanc de mon âme ; prends-le bien ce bon temps qui ne durera guère. Quant aux autres, le remède est facile : il faut qu’ils renforcent leur déjeuner par le petit pâté, la côtelette ou le rognon à la brochette ; qu’ils versent sur le tout un bon bowl de sokomusco, et qu’ils remercient Dieu de leur avoir donné un estomac d’une activité supérieure
Au milieu de la nuit, l’hôtesse entendant du bruit dans la chambre de cette dernière y entra ; sir Ormond Mondeville s’y trouvait : cent livres sterling furent offertes par sir Ormond à cette femme, qui lui promit le silence. S’il en est ainsi, mon jeune ami, reprit le ministre avec intérêt, vous devriez, vous pourriez certainement être placé dans une meilleure condition que celle où vous vous trouvez. Il existe une trentaine d’espèces de truffes européennes. Le Marché aux Truffes de Sainte-Alvère, c’est également le marché aux truffes d’été. Tuber aestivum dit truffe d’été ou de st Jean : Moins savoureuse que les deux autres, sa chair jaune brunâtre est légèrement épicée. De cette façon les musiciens se trouvent presque jusqu’à la fin du morceau, très-rapprochés du chef ; ils conservent rigoureusement le même mouvement que l’orchestre inférieur, et il n’y a jamais la moindre discordance rhythmique entre les deux masses. Sur le plat : Garnir le fond du plat d’un fin émincé de fonds d’artichauts lié à la Soubise. Cet arrangement assez poétique était la conséquence d’un compromis entre les deux habitants de la cabane ; le nègre insistant pour avoir les accessoires de sa rude civilisation, tandis qu’à l’Indien il fallait l’ombre des bois pour le réconcilier avec sa position
La petite ville paraît avoir été plus considérable aux siècles passés, si l’on en juge par divers restes de ses annales tronquées. Notons, entre autres, que dès cette époque chacun des correspondants de Mme Sand : les membres de sa famille, comme ses amis intimes (les frères Rollinat, Hippolyte Chatiron, Fleury, Papet et Planet) ; les artistes (par exemple, Mme Pauline Viardot), comme les amis prolétaires (Gilland, Magu et Perdiguier) ; les philosophes, comme les politiques (Leroux, Louis Blanc, de Latouche) ; enfin tous les intimes de Nohant, comme aussi de simples connaissances, ne terminent jamais leurs lettres à Mme Sand autrement que par la phrase sacramentale : « J’embrasse Chopin, Maurice et Solange », ou bien : « Je salue Solange, Chopin et Maurice », ou encore : « Un baiser à Maurice, Solange et Chopin », etc. Cette phrase s’explique d’elle-même. Ses reliques étaient exposées à la vénération des fidèles dans l’église qui lui avait été consacrée; après la destruction de cette église, elles l’ont été dans celle de St-Étienne-du-Mont; depuis 1852, elles ont été transférées dans la magnifique basilique, à laquelle son nom a été rendu (l’ancien Panthéon)
Il y a apparence que son œuf est déposé dans le tems que le grain est encore très-petit et très tendre, puisque la piquûre que l’insecte a faite pénètre jusqu’au pépin, et que le pépin même en est quelquefois profondément creusé ; mais pour l’ordinaire et presque toujours il en porte l’empreinte. Quant à la seconde, examinez attentivement toutes ses racines ; s’il en est quelques unes d’ulcérées, ne craignez pas de retrancher jusqu’au vif, et recouvrez le chevelu sain qui reste avec la terre émiée de la surface du sol. L’oiseau ne coupe pas, ne mâche pas, mais il suce, il pompe le suc, et la quantité de la substance aqueuse étant diminuée, l’écorce s’allonge, va jusqu’au pépin où elle adhère alors, et le fruit se conserve. Vous voyez souffrir un cep ; le siège de la maladie n’est point apparent ; hâtez vous de le déchausser, de fouiller la terre ; suivez la trace du vieux bois ; ce ne sera souvent qu’à un ou deux mètres de distance du provin que vous trouverez la vraie, a seule cause du mal ; elle réside dans la partie chancie de l’ancienne souche, qui communique à la jeune un suc morbifique ; séparez-les l’une de l’autre ; extirpez la première du terrain, n’y laissez subsister aucune de ses parties